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- Les Chroniques de Faust -
11 octobre 2008

"Vicky Cristina Barcelona"

untitledJ'ai aimé le dernier film de Woody Allen. Un film léger, frais, sur l'amour, sur comment on voit l'amour, ce que l'on veut et surtout ce que l'on ne veut pas. J'ai adoré le rôle de Penelope Cruz, qui joue merveilleusement bien l'artiste-névrosée (elle m'a fait pensé à Frida Khalo). Voilà on passe un bon moment, ce n'est pas un film transcendant mais c'est un film à voir.

Synopsis :

Vicky et Cristina sont d'excellentes amies, avec des visions diamétralement opposées de l'amour : la première est une femme de raison, fiancée à un jeune homme respectable ; la seconde, une créature d'instincts, dénuée d'inhibitions et perpétuellement à la recherche de nouvelles expériences sexuelles et passionnelles.
Lorsque Judy et Mark, deux lointains parents de Vicky, offrent de les accueillir pour l'été à Barcelone, les deux amies acceptent avec joie : Vicky pour y consacrer les derniers mois de son célibat à la poursuite d'un master ; Cristina pour goûter un changement de décor et surmonter le traumatisme de sa dernière rupture.
Un soir, dans une galerie d'art, Cristina "flashe" pour le peintre Juan Antonio, bel homme à la sensualité provocante. Son intérêt redouble lorsque Judy lui murmure que Juan Antonio entretient une relation si orageuse avec son ex-femme, Maria Elena, qu'ils ont failli s'entre-tuer.
Plus tard, au restaurant, Juan Antonio aborde Vicky et Cristina avec une proposition des plus directes : s'envoler avec lui pour Oviedo, consacrer le week-end à explorer les beautés de la ville, à boire du bon vin et à faire l'amour. Vicky est horrifiée ; Cristina, ravie, la persuade de tenter l'aventure...

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Commentaires
U
Le trio fonctionne à merveille.Mais l'amour est fragile et pour inventives qu'elles soient les formules sentimentales n'en sont pas moins incapables de faire des miracles.A 3,à 10,la passion reste ephémère et les constructions hasardeuses.<br /> Il n'y a au fond que l'art auquel on puisse se fier,qu'il s'agisse des tableaux impétueux d'Eléna ou de ceux de Juan Antonio ou encore de cette folle machine à fantasmes que Woody Allen n'a jamais cessé d'alimenter.A plus de 70 ans il peut se permettre les rêves les plus fous car ce sont aussi......les plus généreux. Allez le voir.<br /> <br /> Pierre
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